Alors bijour tout le monde. La chroniqueuse est de retour avec de nouvelle aventures.

Aujourd'hui vous aurez droit à un petit interview de Bernard, un homme-carotte. Je l'ai rencontré récemment /au coin d'un arbre -oui oui les arbres ont un coin-/ et je voulais vous le présenter. Voici ce que j'ai récolté. 

Moi: Salut Bernard. Tu vas bien?

Bernard: Hey. Oh ça roule!

Moi: Nous allons commencer par une question simple. Que fais tu de tes journée? [je suis sure qu'il y a plein de petites gens qui voudraient savoir si chez toi la scolarité est obligatoire]

Bernard: Tout d'abord sachez que l'image est trompeuse, non je ne passe pas mes journées la tête en bas. Je suis jeune cueilleurs de cerises professionnel. Nous avons un équivalent de primaire chez nous, la débutation, on apprend à compter, à lire. A l'âge de 11 ans se développe en sois une affinité avec un secteur. Pour moi ce fus la cueillette. J'ai donc fais un apprentissage sur le terrain du métier de cueilleur. Cet apprentissage à duré 3 ans. J'ai ensuite choisi la voie des cerises, cela fais maintenant 3 ans, je suis passé en professionnel cette année.

Moi: Voila une description bien détaillée dis donc. [si vous savez manier les chiffres vous comprendrez rapidement que cette jeune personne qu'est Bernard à 17 ans]. Dis nous Bernard rencontres tu des problèmes dans ton travail?

Bernard:  Bah non j'aime ça [beaucoup]. Enfin si un, l'arrivée des zombies mangeurs de cerises chamboule un peu tout, mais on survivra avec nos cerisiers! Des démarches diplomatiques sont en cours.

Moi: Quel est ce problème? Tu veux bien nous en dire plus?

Bernard: Bah enfait c'est que y a des zombies [qui ressemblent à des jelly -désolé sais pas comment on accorde jelly-] qu'on débarqués à Tiges-Vertes. Snow [une amie] les a sur les bras et elle essaye de se dépatouiller avec leur reine [pas très futfut]. Encore heureux ce ne sont pas des zombies agressifs, ils veulent justes des queues de cerises. Résultats nous autres cueilleurs de cerises stressons pour l'avenir de nos cerisiers.

Moi: Oh la cata. J'espère fortement que si les cerises sont aussi importante pour eux, ils prendront soins des cerisiers.  Bon je suis désolé de vous lâcher juste après une infos aussi triste [mais le devoir m'appel -trou flagrant donc je vous demande pardon d'avance sur la faute que j'ai peu être commis-]. Aurevoir mon cher Bernard et à bientôt.

Bernard: Salut tout le monde. Biz

Bon voili voulou. Si vous voulais contacter Bernard y a pas de soucis, adressez vous à moi et je lui passerais la main pour qu'il vous réponde ;)

~Pi~

Il était une fois une asperge qui grandi seule. Elle fit des étude de marketing. Elle progressa vite, elle était douée. Elle avait l'art de parler et d'embobiner les gens. Seulement avec le temps elle prit de l'assurance et se mit à parler avec le ton de ceux qui sont persuadés d'avoir toujours raison. Cela irrita sess plus fidèles clients qui petit à petit se détournèrent d'elle. L'asperge s'en aperçut trop tard, elle décida donc de partir de part le monde pour enfariner son prochain. C'est ainsi que mené par son instinct et son ouï elle se retrouvait toujours où il y avait les négociations les plus juteuses. Autrefois elle avait un nom, aujourd'hui elle s'appelle juste le Négociateur. (À partir de ce moment nous changeons le pronom personnel "elle" en "il" car ce n'est plus l'asperge mais le négociateur /histoire que la compréhension soit meilleure et qu'il n'y est pas de mélange de pinceaux/).

Horripilant tout le monde,  les négociations se font à présent à voix basse pour éviter qu'il rapplique. Il arrivait que certain oublient et parlent de leur affaires à voix haute, il débarque alors guidé par ses fabuleuses oreilles (ou pas suivant les points de vue, à savoir le sien et celui de tout les autres). Et arrive point nommé comme qui dirait, à chaque fois il flaire la piste profitable pouvant tourner à son avantage. (à savoir il n'est jamais en retard et on ne sait jamais d'où le Négociateur arrive, pouf d'un coup il est là, même que des fois pour ménager son arrivée, il fait pouf au milieu d'un nuage /sentant la rose mais ça faut le garder secret/).

Voila un article un peu spécial, fait pour le défi n°5 de Swirl.

Je vais vous éclairer sur les fêtes chez les légumains, en particulier sur celles de noël. Pour cela je prend comme cobaye une famille d'hommes-poireaux, leur fille aînée, Snow Poireau, pour être précise. Voici son histoire.

Salut tout d'abord je me présente, je suis Snow, j'appartiens à la communauté des hommes-poireaux. J'habite à Tiges-Vertes, une petite ville tranquille dans le centre de la Grande-Poireauterie. Je vais vous présenter ce que vous les humains appelez les fêtes de noël, nous autres nous les appelons les Fêtes de la Germination. Elles sont au nombre de 3 et se déroulent sur 2 jours consécutifs où la terre est obligatoirement recouverte par la neige. Mes parents m'ont nommée en référence à cette neige indispensables pour ces fêtes. Nous nous réunissons avec plusieurs familles de notre résidence chez celle qui a le plus grand jardin. La première fête se déroule le soir où l'on partage le repas des retrouvailles, c'est une Raclette Party selon la tradition ancestrale. La seconde à lieu dans la matinée du deuxième jour. C'est là que la neige intervient, dans le jardin nous devons faire un grand feu et sur le périmètre circulaire dégagé de neige nous formons un cercle et nous chantons. Ensuite nous pouvons planter nos légumes dans ce périmètre et nous avons la garanti qu'ils pousseront bien. C'est un fournisseur de légumes pour toutes les familles présentent. Le soir de ce second jour nous recevons chacun un cadeaux fait en commun par toutes les personnes présentes. Voilà le déroulement officiel des Fêtes de la Germination.

Je m'attendais à un déroulement semblable, rien ne ne m'a préparé à ce qui m'est, littéralement, tombé dessus. Voici mon histoire.

Tout à commencé la veille des Fêtes de la Germination, pourtant tout se présentait pour le mieux, il avait bien neigé, y avait au moins 10 cm de neige. On rassemblait déjà les ingrédients pour la Raclettes Party. Je traversais le majestueux couloir nous séparant des voisins, quand je ressens un truc chelou dans l'atmosphère. Je mets du temps à comprendre que ça sens les fleurs fraîchement coupées. Je met ça sur le compte de mon imagination et reprends ma route. Une fois la commission pour les voisins faites je retourne voir ma mère, pour lui proposer mon aide si elle en a besoin. C'est le cas. On passe donc la soirée à confectionner des guirlandes de papier multicolors, des bougeoirs dans des peaux d'orange, on fait plein de choses banales et courantes.

Le lendemain matin je sors prendre l'air, pourquoi pas faire un poireau des neiges, non je déconne c'est un bonhomme de neige pour nous aussi.

Au pas de la porte je marque un arrêt de surprise, deçà delà des fleurs tombent en tourbillonnant. C'est pas vrai, ça y est j'ai des hallucinations. Mais non il y a bien quelques fleurs, peu nombreuses qui tombent avec régularité. Et là qu'est-ce que je vois au fond de la cour ? Un espèce de gros tas de merde verdâtre avec des yeux, qui s'exclame d'une voix forte :

-Qu'est-che que ch'est que chette merde, y fait trop froid. Che chavais que ch'aurais dus refucher chette michion. Merde de merde.

Ça y est j'ai plus toute ma tête, ça tourne pas rond là haut. Je m'approche tout de même et demande à ce truc.

-Salut, t'es qui toi ?

-Haaaaaaa, comment que cha che fais que tu me vois ? Ch'est pas mon chour déchidément.

-Quoi comment ça se fait que je te vois ?

Et me voilà en train de parler à un mirage.

-Che chuis chenché être invichible et toi tu me vois. Putain che qui fais froid.

-T'as qu'à venir chez moi.

C'est ainsi que je me retrouve à ramener chez moi un tmni, truc marchant non identifiable. Le machin à l'air plutôt surpris par le mobilier. Une fois dans ma chambre je lui demande.

-Dis t'es quoi ?

-Chuis Titoun, un chombie végétarien.

-Ah enchanté Titoun moi c'est Snow. C'est quoi la mission dont tu parlais toute à l'heure ?

Vous excuserez mon manque de réaction mais ça me semble pas illogique suite aux autres phénomènes donc j'ai été victime, si on peut dire.

-Che chuis l'éclaireur de mon peuple, che dois voir chi chette terre est habitable, et le pluch important chi vous ch'avez des cherichiers qui font beaucoup de cherises, où chi ils che développent normalement ichi.

-Nous avons des cerisiers, vous avez besoin des cerises pour quelles raisons ? Vous aimez beaucoup ça ?

-Non, on a bechoin des queues de cherises chans cha nous chommes condamné à mourir. Chur notre planète les cherichiers ne pouchent plus. Puiche que tu me dis qu'il y a des cherichiers, che vais de che pas prévenir les dirichants là bas.

Et sur ses mots il disparut.

C'est ainsi que je fis la connaissance, rapide, de Titoun le zombie végétarien.

Suite à cela les Fêtes de la Germination eurent lieu et personnes sauf moi n'étaient au courant de la prochain invasion pacifique dont nous allons être victimes.

~Pissenly~